Au delà du Mobile First et des problèmes de dispersion de l’information

D’après une étude du NN/g, l’approche Mobile-First peut avoir des impacts négatifs en termes d’efficacité de l’accès à l’information quand on est sur un desktop. En effet, il semble relativement évident que le contenu doit être adapté au média et qu’on ne présente pas l’information de la même manière sur un flyer ou sur un journal.

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Daquota.io : l’outil low-code intégrant ChatGPT pour étendre Salesforce


Voir la vidéo : https://youtu.be/rmSRsDSjyR0

Salesforce

+ LOW-CODE


Etendre Salesforce : les difficultés

Salesforce propose une gamme assez large d’outils pour l’étendre, allant de la configuration no-code au développement de composants spécifiques en utilisant le langage de programmation Apex, dans le cadre du framework Lightning. Salesforce permet aussi l’intégration via OAuth2 d’applications tierces, tout en permettant un accès complet à son API.

Malgré cela, étendre Salesforce peut être un vrai casse-tête pour le métier, mais aussi pour les équipes techniques. Tout d’abord, les options de configuration sont très nombreuses, ce qui est à la fois une force et une faiblesse. Datant de 1999 et assurant une rétro-compatibilité, le framework fait cohabiter plusieurs strates d’outils et de versions qui induisent une difficulté de prise en main, ne serait-ce que pour comprendre quel outil correspond le mieux à ses besoins. De plus, les outils no-code étant limités par essence, l’utilisateur Salesforce se retrouve assez rapidement bloqué dans les évolutions métier possibles. Il doit alors passer en mode développement, et là aussi faire des choix compliqués parmi la multitude d’options qui s’offre à lui.

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Le 8ème Principe “oublié” du “Local First”

Le mouvement du “Local First” a émergé des États-Unis avec une vision innovante pour le développement web, en particulier pour les Progressive Web Apps (PWA).

Cette approche consiste à développer les applications en utilisant d’abord les données localement et en les partageant aux autres utilisateurs via des mécanismes et protocoles de synchronisation. Elle repose sur 7 (sept) principes fondamentaux qui visent à transformer la manière dont nous concevons et utilisons les applications en ligne. Voici ces 7 principes, tels qu’énoncés par les chercheurs de Ink and Switch dans leur publication fondatrice (*).

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Inside DLite: low-code components, model-driven tools, local-first and eco-design explained

DLite is an Open Source Low-Code platform that is designed to help building web front-ends. It is based on Web standards, such as the Vue.js reactive framework, and Bootstrap, the popular UI kit for responsive web design. In short, the core of DLite is a wrapper around BootstrapVue, including basic low-code components such as inputs, and more advanced components such as tables. Also, DLite comes with additional low-code components such as graphs (a chart.js wrapper), and many layout components such as containers, splitters (a split.js wrapper), tabs, and many others.

DLite’s comes with the following Open Source key elements:

  • Many low-code components to build UIs fast;
  • Model-driven tools, such as a model editor (which can create models inferred from a JSON structure), and builders, which can automatically create full forms and CRUD editors out of a model;
  • A local-first API and service (including an Open Source server for a sync service);
  • A builtin probe to measure consumed resources (in order to help with responsible software development and eco-design).

In this post, I will explain how these 4 key elements work. The source code for all these is available here.

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When Low Code meets Local-First Software

In this post, I explain the dLite low-code platform approach to build frontend applications. dLite relies on a new paradigm called the Local-First Software paradigm. With this paradigm, one can build applications using local data, which remains the ownership of the user. A generic synchronisation protocol is used to access the data cross-device, and a sharing protocol is used to share data among users and build collaborative applications. I explain that the Local-First paradigm is particularly well-fitted to low-code, since it removes the need of a specific backend and database for each application. Additionally, security and data privacy comes by design, so that all the complex access-right management usually required on the server-side for collaborative applications is not required anymore. As a consequence, it drastically reduces the complexity of the application as well as its maintenance and evolution costs. Last but not least, it is Green IT friendly since it opens the door to a better use of resources by reducing remote invocations, taking better advantage of the terminal (client) side computing power, and saving complex server-side CI/CD, application-server layers, and huge centralized databases.

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